La direction générale des prisons a démenti lundi les informations, qui circulent depuis deux jours sur les réseaux sociaux, affirmant qu’un détenu avait subi des actes de torture durant son incarcération à la prison de Mornaguia.
« En observant les traces sur le corps du défunt il nécessaire de considérer que ce dernier avait été déjà opéré et qu’il a subi une autopsie », a dit M. Ridha Zaghdoudi, porte-parole de la direction des services pénitentiaires.
« Depuis son incarcération le 14 juillet dans une affaires de violences à l’arme blanche, le défunt avait des comportements violents à l’égard de ses co-détenus», a dit M. Zaghdoudi, citant le témoignage de la mère de Kridis publié par l’observatoire des droits et liberté affirmant que son fils avait une carte de handicapé mental et était suivi depuis des années à l’hôpital Errazi.
« Les médicaments requis par le défunt sont classés et ne pouvaient par conséquent lui être remis sans prescription médicale », a encore expliqué M. Zaghdoudi.