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Le "Harak du 25 juillet" participera aux élections locales avec 15 candidats
Le parti “Harak du 25 juillet” a annoncé, mercredi, qu’il participera avec 15 candidats aux prochaines élections locales prévues le 24 décembre prochain, malgré “des réserves sur la loi électorale“.
Lors d’une conférence de presse, à Tunis, Houcem Ben Ahmed, vice-secrétaire général du mouvement, a déclaré que “le parti a laissé le choix à ses militants et sympathisants de participer et de se porter candidat de manière individuelle aux élections locales”.
Il a, par ailleurs, appelé à l’amendement de la loi électorale.
“Le Harak s’est, dès le début, opposé au principe des parrainages surtout en ce qui concerne le nombre requis”, a-t-il rappelé, estimant que les parrainages peuvent “ouvrir la voie à l’argent politique sale”.
Le Secrétaire général a, par ailleurs, évoqué la question de l’absence de financement public des élections locales, indiquant que celui-ci “pourrait entraver l’action politique car il peut conduire à une réticence des acteurs politiques”.
Il a, sur un autre plan, appelé à un remaniement ministériel dans les plus brefs délais afin de nommer de nouveaux ministres dans les postes vacants dans trois ministères.
Ben Ahmed a, dans ce sens, critiqué le “manque de communication” du gouvernement.
Ben Ahmed a, par ailleurs, appelé à faciliter les procédures de réconciliation pénale et de lancer un dialogue national avec les jeunes.
Il a, sur un autre plan, réaffirmé le soutien du Harak à la candidature du chef de l’Etat, Kaïs Saïed, à la prochaine présidentielle de 2024.
Lors d’une conférence de presse, à Tunis, Houcem Ben Ahmed, vice-secrétaire général du mouvement, a déclaré que “le parti a laissé le choix à ses militants et sympathisants de participer et de se porter candidat de manière individuelle aux élections locales”.
Il a, par ailleurs, appelé à l’amendement de la loi électorale.
“Le Harak s’est, dès le début, opposé au principe des parrainages surtout en ce qui concerne le nombre requis”, a-t-il rappelé, estimant que les parrainages peuvent “ouvrir la voie à l’argent politique sale”.
Le Secrétaire général a, par ailleurs, évoqué la question de l’absence de financement public des élections locales, indiquant que celui-ci “pourrait entraver l’action politique car il peut conduire à une réticence des acteurs politiques”.
Il a, sur un autre plan, appelé à un remaniement ministériel dans les plus brefs délais afin de nommer de nouveaux ministres dans les postes vacants dans trois ministères.
Ben Ahmed a, dans ce sens, critiqué le “manque de communication” du gouvernement.
Ben Ahmed a, par ailleurs, appelé à faciliter les procédures de réconciliation pénale et de lancer un dialogue national avec les jeunes.
Il a, sur un autre plan, réaffirmé le soutien du Harak à la candidature du chef de l’Etat, Kaïs Saïed, à la prochaine présidentielle de 2024.
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