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La présidente du PDL subit une injustice politique, selon le Comité de défense
La présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi, est en train de subir une injustice, a déclaré Nefaâ Laribi, membre du comité de défense de l’avocate, estimant que les mesures prises par le juge d’instruction ne répondent pas aux conditions nécessaires à un procès équitable.
Lors d’un rassemblement de protestation organisé par les partisans du PDL, devant la Maison de l’avocat, à Tunis, Nefaâ Laribi a fait remarquer que » les éléments du crime ne sont pas réunis dans l’affaire de la présidente du PDL, ce que le juge d’instruction chargé du dossier essaie d’ignorer « .
L’emprisonnement de Moussi relève d’une détention illégale et constitue une transgression des procédures appliquées dans un procès, a-t-il dit, soulignant que » les faits commis le 3 octobre par l’avocate ne peuvent, en aucun cas, s’apparenter à un crime « .
De son côté, l’avocat Karim Krifa a déclaré que ce rassemblement de protestation organisé devant la Maison de l’avocat par les partisans du PDL constitue un message à tous les Tunisiens que Abir Moussi est victime de dépassements procéduraux commis par le juge d’instruction à son encontre et d’une violation des attributs d’un procès équitable.
Krifa a appelé les partisans du PDL à continuer de soutenir sa présidente qui subit une « injustice » politique.
Abir Moussi a été arrêtée le 3 octobre dernier à la suite d’une plainte déposée auprès du Palais de Carthage contre le projet de loi relatif à la division des districts en Tunisie et ce, à l’occasion des élections des conseils des districts et des régions.
Lors d’un rassemblement de protestation organisé par les partisans du PDL, devant la Maison de l’avocat, à Tunis, Nefaâ Laribi a fait remarquer que » les éléments du crime ne sont pas réunis dans l’affaire de la présidente du PDL, ce que le juge d’instruction chargé du dossier essaie d’ignorer « .
L’emprisonnement de Moussi relève d’une détention illégale et constitue une transgression des procédures appliquées dans un procès, a-t-il dit, soulignant que » les faits commis le 3 octobre par l’avocate ne peuvent, en aucun cas, s’apparenter à un crime « .
De son côté, l’avocat Karim Krifa a déclaré que ce rassemblement de protestation organisé devant la Maison de l’avocat par les partisans du PDL constitue un message à tous les Tunisiens que Abir Moussi est victime de dépassements procéduraux commis par le juge d’instruction à son encontre et d’une violation des attributs d’un procès équitable.
Krifa a appelé les partisans du PDL à continuer de soutenir sa présidente qui subit une « injustice » politique.
Abir Moussi a été arrêtée le 3 octobre dernier à la suite d’une plainte déposée auprès du Palais de Carthage contre le projet de loi relatif à la division des districts en Tunisie et ce, à l’occasion des élections des conseils des districts et des régions.
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