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La Chambre de l'enseignement privé refuse tout accord interdisant aux enseignants du secteur public d'exercer dans le privé
La Chambre nationale de l’enseignement privé relevant de l’UTICA a refusé, mardi, la signature d’un accord avec le ministère de l’Education interdisant aux professeurs du secteur public d’exercer dans le privé, à partir de l’année scolaire 2021/2022.
La tutelle a proposé à la chambre d’appliquer un système de quotas dans le recrutement de ces enseignants, a noté la présidente de la chambre nationale de l’enseignement privé, Latifa Farhat Boughattas dans une déclaration à l’Agence TAP.
La chambre a appelé le ministère à répondre favorablement à ses propositions et à rendre justice aux établissements éducatifs privées.
Selon Boughattas, un accord avait été trouvé avec le ministère de l’Education afin d’autoriser les professeurs de l’enseignement public à exercer dans les collèges et lycées privées (neuvième année et baccalauréat) avec un quota de 100% au cours de l’année scolaire 2019/2020 et de 60% à partir de 2020/2021.
Et de souligner que les négociateurs de la chambre ont été surpris de voir de nouvelles clauses dans cet accord qui sont de nature à porter préjudice aux établissements de l’enseignement privé, évoquant, à ce titre, la mise en place d’une commission formée des représentants de 4 parties, chargée d’élaborer un « contrat de travail pilote ».
Par conséquent, la chambre a demandé de maintenir le système des autorisations et de travailler dans le cadre de la convention collective.
La tutelle a proposé à la chambre d’appliquer un système de quotas dans le recrutement de ces enseignants, a noté la présidente de la chambre nationale de l’enseignement privé, Latifa Farhat Boughattas dans une déclaration à l’Agence TAP.
La chambre a appelé le ministère à répondre favorablement à ses propositions et à rendre justice aux établissements éducatifs privées.
Selon Boughattas, un accord avait été trouvé avec le ministère de l’Education afin d’autoriser les professeurs de l’enseignement public à exercer dans les collèges et lycées privées (neuvième année et baccalauréat) avec un quota de 100% au cours de l’année scolaire 2019/2020 et de 60% à partir de 2020/2021.
Et de souligner que les négociateurs de la chambre ont été surpris de voir de nouvelles clauses dans cet accord qui sont de nature à porter préjudice aux établissements de l’enseignement privé, évoquant, à ce titre, la mise en place d’une commission formée des représentants de 4 parties, chargée d’élaborer un « contrat de travail pilote ».
Par conséquent, la chambre a demandé de maintenir le système des autorisations et de travailler dans le cadre de la convention collective.