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Fadhel Abdelkafi : Afek Tounes votera NON au référendum
Le parti “Afek Tounes” a décidé de participer au référendum du 25 juillet prochain, mais votera “NON”.
Le parti dit refuser la démarche du président de la République, Kaïs Saïed, et son projet de “nouvelle République”.
Voter OUI au référendum, c’est une manière de “cautionner” et de “plébisciter” le président de la République, a déclaré le président de Afek Tounes, Fadhel Abdelkafi, au cours d’une conférence de presse, lundi 13 juin à Tunis.
Cependant, refuser le référendum ne signifie pas rejeter la Constitution, a-t-il dit. C’est une manière de rejeter “la dictature, l’improvisation et le totalitarisme”, a-t-il estimé.
Il considère que la décision de boycotter le référendum représente “la politique de la chaise vide”. Le parti a choisi de voter NON car le processus référendaire est “déraisonnable”.
Le président du parti Afek Tounes estime qu’en cas de victoire du NON au référendum, le chef de l’Etat “devrait démissionner”. Il a rappelé que son parti avait, au début, soutenu “le 25 juillet”, mais “le rendement catastrophique” de Kaïs Saïed à tous les niveaux est “devenu un problème”.
Il a appelé les partis qui ont décidé de boycotter le référendum à participer en votant contre.
Au sujet de la coordination du parti Afek Tounes avec l’Union générale tunisienne du Travail, Abdelkafi a déclaré que les positions du parti sont proches de celles de la centrale syndicale, mais, a-t-il ajouté, l’UGTT n’est pas un parti politique et n’est pas concernée par le référendum.
Cependant, refuser le référendum ne signifie pas rejeter la Constitution, a-t-il dit. C’est une manière de rejeter “la dictature, l’improvisation et le totalitarisme”, a-t-il estimé.
Il considère que la décision de boycotter le référendum représente “la politique de la chaise vide”. Le parti a choisi de voter NON car le processus référendaire est “déraisonnable”.
Le président du parti Afek Tounes estime qu’en cas de victoire du NON au référendum, le chef de l’Etat “devrait démissionner”. Il a rappelé que son parti avait, au début, soutenu “le 25 juillet”, mais “le rendement catastrophique” de Kaïs Saïed à tous les niveaux est “devenu un problème”.
Il a appelé les partis qui ont décidé de boycotter le référendum à participer en votant contre.
Au sujet de la coordination du parti Afek Tounes avec l’Union générale tunisienne du Travail, Abdelkafi a déclaré que les positions du parti sont proches de celles de la centrale syndicale, mais, a-t-il ajouté, l’UGTT n’est pas un parti politique et n’est pas concernée par le référendum.
Le parti dit refuser la démarche du président de la République, Kaïs Saïed, et son projet de “nouvelle République”.
Voter OUI au référendum, c’est une manière de “cautionner” et de “plébisciter” le président de la République, a déclaré le président de Afek Tounes, Fadhel Abdelkafi, au cours d’une conférence de presse, lundi 13 juin à Tunis.
Cependant, refuser le référendum ne signifie pas rejeter la Constitution, a-t-il dit. C’est une manière de rejeter “la dictature, l’improvisation et le totalitarisme”, a-t-il estimé.
Il considère que la décision de boycotter le référendum représente “la politique de la chaise vide”. Le parti a choisi de voter NON car le processus référendaire est “déraisonnable”.
Le président du parti Afek Tounes estime qu’en cas de victoire du NON au référendum, le chef de l’Etat “devrait démissionner”. Il a rappelé que son parti avait, au début, soutenu “le 25 juillet”, mais “le rendement catastrophique” de Kaïs Saïed à tous les niveaux est “devenu un problème”.
Il a appelé les partis qui ont décidé de boycotter le référendum à participer en votant contre.
Au sujet de la coordination du parti Afek Tounes avec l’Union générale tunisienne du Travail, Abdelkafi a déclaré que les positions du parti sont proches de celles de la centrale syndicale, mais, a-t-il ajouté, l’UGTT n’est pas un parti politique et n’est pas concernée par le référendum.
Cependant, refuser le référendum ne signifie pas rejeter la Constitution, a-t-il dit. C’est une manière de rejeter “la dictature, l’improvisation et le totalitarisme”, a-t-il estimé.
Il considère que la décision de boycotter le référendum représente “la politique de la chaise vide”. Le parti a choisi de voter NON car le processus référendaire est “déraisonnable”.
Le président du parti Afek Tounes estime qu’en cas de victoire du NON au référendum, le chef de l’Etat “devrait démissionner”. Il a rappelé que son parti avait, au début, soutenu “le 25 juillet”, mais “le rendement catastrophique” de Kaïs Saïed à tous les niveaux est “devenu un problème”.
Il a appelé les partis qui ont décidé de boycotter le référendum à participer en votant contre.
Au sujet de la coordination du parti Afek Tounes avec l’Union générale tunisienne du Travail, Abdelkafi a déclaré que les positions du parti sont proches de celles de la centrale syndicale, mais, a-t-il ajouté, l’UGTT n’est pas un parti politique et n’est pas concernée par le référendum.
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