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ARP : Des blocs parlementaires décident de participer aux séances d’examen du budget de l’Etat
Des blocs parlementaires et des députés hors groupe ont décidé de participer aux séances consacrées aux débats sur le budget de l’Etat, s’engageant à ne pas perturber leur bon déroulement par respect à l’intérêt national, a indiqué, jeudi, Abderrazek Aouidet, président du bloc de la "Ligne nationale souveraine".
Lors d’une conférence de presse, jeudi, au parlement, à laquelle ont participé des représentants du bloc de la Ligne nationale souveraine, du bloc libéral, du bloc national indépendant, du bloc » La victoire au peuple » et des députés hors groupe, Aouidet a fait part de la protestation de ces blocs contre la décision prise par le président de l’Assemblée des représentants du peuple de tenir une séance plénière vendredi, malgré que celle consacrée à l’examen de la proposition de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste soit toujours ouverte.
Le bureau du parlement avait décidé, mercredi, le report de l’examen de la date de la séance plénière consacrée à l’examen de la proposition de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste.
Cette dernière sera soumise aux débats après l’examen du projet de budget de l’Etat et celui de la loi de Finances au titre de 2024.
Le président de la "Ligne nationale souveraine" a estimé qu’il aurait été plus judicieux de tenir une plénière ce jeudi pour clôturer la précédente, puis entamer les plénières consacrées à l’examen du budget de l’Etat, qualifiant de » dépassement » l’initiative du président du parlement » qui de surcroît va entraver les travaux de l’Assemblée « .
"La plénière du 2 novembre a été levée par le président de l’ARP dans la perspective que celle-ci se poursuive le jour suivant. Une plénière restée suspendue à ce jour" , a rappelé Aouidet, estimant qu’il s’agit d’une violation du règlement intérieur.
Pour sa part, le député Bilel Mechri (hors groupe), a déclaré que la séance plénière est la plus haute autorité du parlement et, donc, elle n’est soumise à aucune décision du bureau du parlement ou autre.
"Le président du parlement endosse l’entière responsabilité d’entraver le bon déroulement des activités du parlement" , a-t-il insisté.
Le parlement avait suspendu, le 2 novembre courant, l’examen du projet de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste en raison d’une divergence de points de vue.
Lors d’une conférence de presse, jeudi, au parlement, à laquelle ont participé des représentants du bloc de la Ligne nationale souveraine, du bloc libéral, du bloc national indépendant, du bloc » La victoire au peuple » et des députés hors groupe, Aouidet a fait part de la protestation de ces blocs contre la décision prise par le président de l’Assemblée des représentants du peuple de tenir une séance plénière vendredi, malgré que celle consacrée à l’examen de la proposition de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste soit toujours ouverte.
Le bureau du parlement avait décidé, mercredi, le report de l’examen de la date de la séance plénière consacrée à l’examen de la proposition de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste.
Cette dernière sera soumise aux débats après l’examen du projet de budget de l’Etat et celui de la loi de Finances au titre de 2024.
Le président de la "Ligne nationale souveraine" a estimé qu’il aurait été plus judicieux de tenir une plénière ce jeudi pour clôturer la précédente, puis entamer les plénières consacrées à l’examen du budget de l’Etat, qualifiant de » dépassement » l’initiative du président du parlement » qui de surcroît va entraver les travaux de l’Assemblée « .
"La plénière du 2 novembre a été levée par le président de l’ARP dans la perspective que celle-ci se poursuive le jour suivant. Une plénière restée suspendue à ce jour" , a rappelé Aouidet, estimant qu’il s’agit d’une violation du règlement intérieur.
Pour sa part, le député Bilel Mechri (hors groupe), a déclaré que la séance plénière est la plus haute autorité du parlement et, donc, elle n’est soumise à aucune décision du bureau du parlement ou autre.
"Le président du parlement endosse l’entière responsabilité d’entraver le bon déroulement des activités du parlement" , a-t-il insisté.
Le parlement avait suspendu, le 2 novembre courant, l’examen du projet de loi criminalisant la normalisation avec l’entité sioniste en raison d’une divergence de points de vue.
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