Manar Skandrani, président du parti de la Réconciliation, a annoncé qu’il a décidé de se porter candidat aux élections présidentielles.
Skandrani a exprimé son refus de l’idée de président consensuel.
« La démocratie exige l’élection d’un président par le peuple et non par les partis », a-t-il expliqué.