Le secrétariat général du gouvernement a affirmé dans un communiqué rendu public hier, lundi 25 mai 2015, que la licence a été accordée à l’association "Shams" après vérification qu’elle ne défendait pas l’homosexualité mais que son but est d’encadrer les minorités sexuelles moralement, financièrement et psychologiquement.
Le même communiqué assure que l’association "Shams" vise à mettre en garde les citoyens contre les maladies sexuellement transmissibles.